Personne ne m’arrêteras maintenant
Quand bien même la faucheuse excellerait de sa lame affûtée
Futé, je le serais à point nommé, mettons alors le paquet
Pas queuter de cette putain de galère qu’était hier
Lierre de cette prison insensé, ou somnoler l’imprudence
Danse avec les loups et la folie des bipèdes heureux à satiétés
Taie d’oreiller sur le coté, le souffle hoquetait des angoisses serviles
Villes en poussières, état de délabrements pleines de pensées furtives
Fictifs sont les rêves d’enfants, heureux les mécréants !
Créant deux, trois bricoles qui affolent et désolent ,parfois les hommes
Et se penchent sur leurs idées à débroussailler leurs egocentricités
Citer moi dirais-t-on deux, trois événements, à qui mieux mieux ,je le sens !
Senteurs cramoisis au bout d’un fusil ,douceur d’une caresse futile
Enfante les pleurs, esquisse d’un geste furtif, la larme d’antan
Autant emporté le vent et se laisser glisser par dessus les champs…
Personne ne m’arrêteras maintenant…
(octobre 2010)
Tiens! Quelle surprise! Yvon, le retour!
RépondreSupprimerBien aise de lire que plus rien ne t'arrêtera maintenent...
Très belle poésie !
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