mercredi 19 octobre 2011

La nuit surprend, parfois!

La nuit s’est éprit d’un goût d’amertume
J’hume, dès lors ton corps meurtri partant, équité
Crime perpétré au fin fond d’une cité;
Écume les ronces, adoucit les leurres
La nuit s’est éprit d’un goût d’hilarité
S’égrène le temps et les mœurs;
Jeanne ni il d’ailleurs ,car c’est d'eux, qu’il s’agit
J’exploite leurs noms, démons démunis,
La nuit s’est éprit d’un goût d’identité
Fourvoyant son écho dans ce lit aux latérales pensées
Pansés les plaies ,me viens maintenant
Car l’aube naissante laissera couler un ou deux degrés
La nuit c’était pris d’un goût de vulgarité
Malgré le soleil qui se dépose à tes menus pieds
Décadence aux scintillante, d’une nuit étoilée
Toile d’un maître, Manet, Monnet, monnayée
Impression ni élitiste égaye le duvet plaisir…


@Yvon