vendredi 10 décembre 2010

Fielleusement votre

Quand dans mes yeux se rogne,se cogne
Brume mes paupières lourdes d'un tel univers
L'iris se fait enchanteur, m'interpelle la lumière
J'implore que cela ne soit pas qu'un rai,un mirage sans espoirs

Quand dans ma tête pillonne,résonne
No man's land de vos pensées, rassérénées
Foutoir illusoire, désillusions décalées
Commentaire, en veux-tu, en voilà, et... moi !

Quand tout mon sang se fige, suspend, battement
Mon cœur n'en à cure de vos civilités
S'arrête un instant, crache son fiel, braver
Approche, je te déroge le droit de me citer                                              

Quand dans ma puissance, acte d'allégeance
Provoque équivoque, sans propos déplacés
Se prête la raison d'esperer,errement d'un chien aux aguets
Poète,me suffit d'entendre la raison de ton cœur accompli  

5 commentaires:

  1. Je me demande si il y a de la raison dans le coeur du poète...Je pense que la passion l'emporte.

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  2. Tu ne vas pas encore disparaître hein Yvon?

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  3. Non chère Christiana,je suis un peu en pause et aider de mon amie qui prends soin de moi.
    Juste une "méchante" sciatique depuis trois semaines,peut être une retombée de mon opération d'il y'a un an...

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  4. Aïe! ça fait bien mal! Repose-toi, je t'embrasse.

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